65 personnes se sont rassemblées ce 26
novembre, lors des rencontres des Mardis de Santeny consacrées au
thème de la soirée : Nos raisons d'espérer
L’essentiel
Jean Paul :
L’état du monde, perçu par le Secours catholique, incite plus au
découragement qu’à l’espoir. Cependant deux petites histoires,
entre-autres, celle d’une famille malienne et celle de Sovhannya du
Sri Lanka montrent que travail et pugnacité permettent d’aboutir.
Ces témoins ont été pour lui de véritables messagers d’espoir
et des sources de réflexions.
Yann : Il a 33 ans et vient de
créer une société de financement participatif dont il présente le
fonctionnement et les finalités. Ce mode de financement est une
démarche personnelle en correspondance avec son éthique. Il
représente un signe évident d’espérance dans le domaine
économique.
Christophe : La communauté de San
Egidio a été fondée dans les années 70 pour répondre aux défis
mondiaux comme la guerre et la pauvreté. Vite remarquée, cette
association laïque a été reconnue par le Vatican. Christophe
présente les raisons d’être et les actions de cette association
dont l’objectif est de développer l’engrenage de l’espérance.
Anne : au cœur de l’information
quotidienne, la place de l’espérance semble cruellement faire
défaut. Nous nous sentons de plus en plus petits, soumis aux grandes
puissances et au monde dématérialisé. Pourtant, les découvertes
techniques induisent deux interprétations contradictoires :
étonnement, espoir d’un côté et de l’autre, humiliation et au
contraire sentiment d’aliénation et d’impuissance. Citant
Gandhi, Teilhard de Chardin ou Bernanos, Anne nous montre en quoi
notre monde peut être source d’espérances.
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