
Ce blog est un outil de partage d'informations à destination principalement des paroissiens et acteurs pastoraux de l'ensemble pastoral de "La Vallée du Réveillon", regroupant les cinq paroisses de Mandres-les-Roses, Marolles-en-Brie, Périgny-sur-Yerres, Santeny et Villecresnes (Diocèse de Créteil).
dimanche 26 décembre 2021
mercredi 22 décembre 2021
Noël, c'est toi !
Noël, c’est
toi ;
quand tu décides de
renaitre chaque jour
et de laisser Dieu pénétrer ton âme.
Le sapin
de Noël, c’est toi ;
quand tu résistes
vigoureusement
au vent et aux obstacles de la vie.
Les
décorations de Noël, c’est toi ;
qui ornent ta vie.
La cloche qui sonne Noël, c’est toi ;
quand tu invites à se
rassembler
Tu es aussi
la lumière de Noël,
quand tu éclaires de ta
présence le chemin des autres ;
par ta bonté, ta patience,
Les anges du ciel, c’est toi ;
quand tu chantes au monde
L’étoile
de Noël, c’est toi ;
quand tu conduis
quelqu’un à la rencontre du Seigneur.
La musique de Noël, c’est toi ;
Le cadeau de Noël, c’est toi ;
en frère et sœur avec tous les êtres humains.
Les vœux de Noël, c’est toi ;
quand tu pardonnes et
rétablis la paix,
même si tu souffres.
Le
réveillon de Noël, c’est toi ;
quand tu rassasies de
pain et d’espérance
le pauvre qui est auprès de toi.
Tu es la nuit de Noël ;
quand, humble et éveillé,
tu reçois
dans le silence de la nuit,
le Sauveur du monde
sans bruit ni grande célébration ;
Joyeux Noël à tous ceux
qui se reconnaissent dans l’esprit de Noël.
Pape François.
Pour soutenir ma paroisse
Précisions utiles :
2/ Ceux qui souhaitent contribuer au fonds des indemnisations des victimes des abus sexuels sont invités à aller sur le site vers le fonds d'indemnisation :
samedi 18 décembre 2021
Message de notre Evêque Dominique BLANCHET: point d'étape suite au rapport de la CIASE
Aux
paroissiens de la Vallée du Réveillon,
Le
rapport de la CIASE (rapport Sauvé) a été présenté le 5 octobre
dernier. Depuis, notre Eglise est engagée dans un processus de réflexion qui
devrait déboucher sur des propositions.
Dans le souci d'une bonne information, vous trouverez, sur ce lien (cliquer ici), un message de notre évêque, diffusé dimanche 12 décembre.
Café chrétien: notre sapin et notre crèche
Dernière rencontre de l’année au café chrétien.
Nous avons
installé un sapin dans la salle qui a été décorée particulièrement par Eveline
et tout un chacun.
N’hésitez
pas à passer et à admirer notre chef-d’œuvre.
Au plaisir de se revoir l’année prochaine; toute l’équipe du Café chrétien vous souhaite:
mercredi 1 décembre 2021
Méditation: 1er Dimanche de l'Avent (année C)
Méditation à propos de: Evangile selon Saint Luc (21, 25-28.34-36)
L’hiver
et là avec toutes ses nuits. Nuits du monde et du cœur qui nous
engourdissent et désespèrent. Nuit de notre Église « qui défigure la Bonne Nouvelle qu’elle devrait et aimerait pourtant
annoncer ! ».
Pouvons-nous
croire au jour où le soleil brillera pour tous, où l’amour et la justice
habiteront cette terre ? En ces jours-là, Dieu accomplira sa promesse de
Paix. Le monde sera sauvé et vivra de la grâce de Dieu.
Saint
Luc nous fait entrer dans un monde apocalyptique et commencer notre Avent par
un tel évangile peut faire peur.
En
ce temps-là, il y aura des signes dans le soleil, la lune et les étoiles, les
nations seront affolées par le fracas de la mer, les hommes mourront de peur
dans la crainte des malheurs arrivant sur le monde.
Les puissances des cieux seront ébranlées.
Quel Évangile terrifiant ! C’est plutôt du genre à vous donner la chair de
poule !
Pourtant,
aujourd’hui, la terre gronde toujours : des hommes, des femmes des enfants
meurent de faim, comme à Madagascar à cause d’une sécheresse qui sévit depuis
plusieurs années.
D’autres
subissent les conflits dans leur pays, les violences, les déchirements et cette
misère qui les poussent sur les routes de l’exil, à la recherche d’un avenir meilleur.
Et
quelle déception : ils sont renvoyés ou tombent dans les mains de passeurs
qui les dépouillent du peu qu’ils ont !
Les
contemporains de Jésus, eux, ne se trompaient pas, comme nous pouvons le faire,
sur le sens de ces discours aux accents d’Apocalypse.
Les
hommes de la première Alliance savaient bien que c’était un langage codé
qui signifiait simplement : un jour, le monde créé tel qu’il est,
s’achèvera. Il laissera place à un nouveau monde, une nouvelle création.
Ce
Dieu qui vient dans la nuée veut faire une remise à neuf, balayer tout et
recommencer à zéro.
Mais surtout, en ce temps de Noël,
Dieu vient donner au monde l’Enfant de la promesse.
Un Enfant au visage pur qui
respire l’innocence. Un Enfant qui vient rendre l’espérance, l’espérance de la
paix. Il vient pour donner au monde un amour de plus en plus débordant.
Aujourd’hui, n’ayons pas peur de
l’avenir : nous savons que cet avenir est entre les mains de Dieu.
Pour
nous, l’Enfant de Noël a le visage du Ressuscité.
Ce
Fils de l’homme qui revient dans la nuée est le Christ ressuscité.
Il vient redire au cœur angoissé
de chacun que seul l’amour sera vainqueur, que seule la foi en sa Résurrection
peut sauver le monde.
Il nous dit de ne pas avoir peur.
Il invite l’Église à se tenir debout, fidèle.
Le
visage de l’Enfant de Noël est le visage du Christ, lui qui a porté sur lui la
souffrance et la mort. Ce temps d’Avent qui nous mène vers Noël, nous donne
déjà le goût de Pâques.
En
ce temps d’Avent, Jésus le Christ, le Fils de l’homme, vient nous rejoindre sur
nos chemins, il vient nous proposer de vivre selon l’amour du Père.
L’étoile
du Berger nous guide et nous rassure. Elle nous mène vers Celui qui doit juger
le monde. Cette étoile nous illumine, nous tient éveillés. Car nul ne sait
quand il viendra.
Le
sens du monde, sa fin, c’est découvrir que le Ressuscité vient, dans notre
attente, donner la vie.
Ce
don de la vie ne peut être détruit et les forces de mort qui nous rongent sont
anéanties par le Vivant qui nous appelle à
vivre !
Alors,
n’ayez plus peur. « Redressez-vous,
relevez la tête. »
Mais
comment entendre la graine qui pousse quand les cris de guerre et de haine nous
font croire que tout agonise ?
Comment
percevoir les infimes battements du cœur d’un bébé dans le sein maternel quand
la fureur du monde nous rend sourds ?
Il
faut retrouver le silence du veilleur pour rester avec tendresse à l’écoute de
la vie et des vivants, murmure discret dans la nuit.
Dieu
frappe à notre porte et attend. Il espère des veilleurs. Et il veille comme le
père de l’enfant prodigue.
C’est
même parce que Dieu veille sur nous, comme sur des enfants malades ou perdus,
que nous pouvons tenir éveillés !
Ce
conseil nous rappelle l’attitude des bergers le jour de la naissance de Jésus.
Cette nuit-là, ils veillaient.
Veilleurs,
ne nous laissons pas emporter par des annonces catastrophiques. Veilleurs, ne
se résignons pas à la nuit, attendons l’aurore. Veilleurs ne nous endormons pas
lorsque l’enfant paraît.
Mais
pour vivre, notre monde a besoin d’hommes et de femmes qui veillent
activement :
à
regarder l’autre comme un frère,
à
nourrir ceux qui n’ont pas de quoi manger,
à
construire un monde de concorde et de paix,
à
dire Dieu comme un demain à vivre.
« Heureux
celui qui veille ! »
Beau
temps de l’Avent à chacune, chacun.
Regardez !
Dieu vient !
dimanche 14 novembre 2021
Méditation: 33ème Dimanche du Temps Ordinaire (année B)
Méditation à propos de: Evangile selon Saint Marc (13, 24-32)
La Fin et le Début
La venue du Seigneur
1) Le Seigneur est proche, Il est aux portes.
Le passage du discours de Jésus qui est proposé par la
liturgie d’aujourd’hui, a un langage que les experts appellent « apocalyptique
». Cet adjectif vient du substantif « apocalypse » qui signifie « révélation ».
Toutefois, dans le langage commun, ce terme a perdu sa signification d’origine
et, surtout hors du milieu religieux, il indique n’ importe quel évènement de
grande calamité ou une succession d’évènements désastreux. Ceci est arrivé
parce que c’est un langage riche d’images fortes et souvent inquiétantes, qui
ont pour but d’instaurer une écoute respectueuse et attentive parce que
suscitant la crainte.
En effet, dans l’Evangile d’aujourd’hui, Jésus affirme :
« 24. En ces jours-là, après une grande détresse, le soleil s’obscurcira et la lune ne donnera plus sa clarté ;
25. les étoiles tomberont du ciel, et les puissances célestes seront ébranlées.
26. Alors on verra le Fils de l’homme venir dans les nuées avec grande puissance
et 27. avec gloire Il enverra les
anges pour rassembler les élus des quatre coins du monde, depuis l’extrémité de
la terre jusqu’à l’extrémité du ciel. (Mc 13,24-26)
Donc, avec les mots apocalyptiques (c’est à dire révélateurs) des versets 24-25
du chapitre 13 de Marc, le Christ nous dit que le monde et l’humanité qui
l’habitent sont fragiles : ces jours-là, le soleil s’obscurcira, la lune ne
donnera plus sa lumière, les étoiles tomberont du ciel.
Mais dans les versets 26-27, Jésus nous fait comprendre que
s’il existe un monde qui meurt, il existe aussi un nouveau monde qui naît par
Lui et en Lui. Nous n’allons donc pas vers la fin, vers le rien, mais nous nous
préparons à la rencontre définitive avec le Christ, la fin (but) de la vie,
l’achèvement du monde. Nous pensons que nous allons mal finir et pour cela nous
avons peur et nous cherchons de ne pas compter nos jours. Entre autre, dans ce
récit fondamental pour la foi chrétienne, nous voyons la fin de notre histoire
personnelle et la rencontre avec le Seigneur.
La fin (but et achèvement) de toute l’histoire est la rencontre avec Lui et toute la création est en route vers cette rencontre. Toute l’histoire humaine, personnelle, et de l’univers n’est rien d’autre que le fait d’aller toujours de l’avant jusqu’ à ce que la gloire du Fils apparaisse dans le monde. Nous sommes des fils et tout ce qui apparaîtra à la fin est notre gloire. Alors, nous verrons le Fils de l’homme venir avec puissance et gloire.
Le sens de l’histoire est la révélation du Fils de l’homme
et en Lui (le Fils) de chaque homme (le fils) dans la pleine puissance de la
vie et dans la gloire même de Dieu.
Le Messie, donc, ne veut pas raconter la fin du monde, mais
révéler le sens de l’histoire. Lui, il nous dit que la fin du monde n’est pas
la destruction de tout mais la rencontre de nous tous avec le Fils de l’homme.
Lui, il est le Seigneur qui pardonne, l’Epoux qui aime. C’est celui qui se met
entre nos mains et nous donne tout jusqu’à donner sa vie pour nous. La fin du
monde n’est pas semblable à l’arrivée d’un voleur qui nous dérobe tout, mais la
rencontre avec l’Epoux qui nous donne tout, parce que sur la croix de Jésus, le
vieux monde est terminé- le soleil s’ est noirci- et le nouveau est né.
Comme chaque être humain, le chrétien sait qu’un jour le
soleil s’éteindra, mais il sait aussi que la lumière de Dieu resplendira
toujours. La fin du monde n’est pas la destruction de tout, mais la rencontre
de nous tous avec le Fils de l’homme, avec le Rédempteur de l’homme et du
monde. Lui est le Seigneur qui pardonne et nous sauve pour toujours. En fait,
la fin du monde n’est pas le larcin d’un voleur qui me dérobe tout, c’est la
rencontre avec l’Epoux qui nous donne tout. Donc, nous n’allons pas vers le
néant, vers le vide, l’Apocalypse des deux derniers chapitres représente la
rencontre comme celle de l’épouse avec l’époux.
L’Eglise est l’Epouse qui attend l’arrivée de son Epoux. Nous ne devrions pas
avoir peur de rencontrer l’Amour qui vient chez nous.
2) La question n’est pas « quand? », mais
« comment? »
L’Eglise continue à proclamer, en particulier à la fin de
l’année liturgique, cette rencontre d’amour à vivre dans l’attente.
En donnant du poids aux paroles du Christ : « Quant à ce jour et à cette
heure-là, nul ne les connaît, pas même les anges dans le ciel, pas même le
Fils, mais seulement le Père » (Mc 13, 32), la Liturgie rappelle, à nous
fidèles, que nous sommes appelés à être toujours dans l’attente de celui qui
est venu depuis des siècles et qui viendra à la fin des temps, mais qui vient
aussi chaque jour dans notre vie, dans notre quotidien. Pour cela une hymne du
Bréviaire nous fait chanter : « Nuit, ténèbres et brouillard, fuyez : la
lumière, le Christ notre Seigneur entre. Le Soleil de justice transfigure et
allume l’univers en attente « (Hymne des Laudes, IIe semaine, mercredi).
En effet, dans cette transfiguration du monde et – aussi et
surtout — de nous, notre cœur est ouvert de façon à ce que le Ciel y trouve
plus d’espace, et qu’il ait une attention plus vive (dans le sens littéraire du
mot de « tension constante ») vers le Seigneur. Lui, Il vient toujours, mais
souvent la rencontre n’arrive pas parce que nous vivons une vie superficielle
du point de vue spirituel, avec une certaine dissipation. Les choses d’ici-bas
nous attirent tellement jusqu’à rendre l’âme indisponible à cette merveilleuse
rencontre.
Rarement nous nous trouvons dans des conditions spirituelles
de façon à percevoir cette « venue » de Dieu. De cela, qu’en sort-il ?
Certainement pas que le Seigneur change, Lui qui est toujours présent ne change
pas. C’est notre âme qui change, pour vivre toujours une attente, un espoir.
La question est, donc, plutôt le « comment » et non le « quand » (parce que
Dieu nous rejoint à chaque instant). Aujourd’hui, donc, je me permets de
proposer comment répondre à cette question : « Comment attendre la venue définitive
du Royaume de Dieu ? ».
Deux comportements sont possibles, celui de la peur et celui
de l’espoir.
Si nous nous arrêtons à l’intensité dramatique de certaines images de
l’Evangile d’aujourd’hui, il semblerait que la peur prévale. Mais le Christ
ajoute : « Apprenez de la plante du figuier : lorsque sa branche devient tendre
et que les feuilles poussent, sachez que l’été est proche (Mc 13,28). Si d’une
part, il y a la description de la destruction, d’ autre part, il y a la
promesse d’une vie tendre et nouvelle, symbolisée par l’image du figuier dont
les nouvelles feuilles nous montrent que la mort de l’hiver est vaincue et la
vie de l’été est en train de fleurir et donner ses fruits de vie.
La peur et l’espoir s’alternent toujours dans la vie de
l’homme, du chrétien aussi, jusqu’ à former une situation ambigüe et non
résolue.
L’espérance humaine est l’attente de quelque chose qui doit venir mais dont on
ignore quand, parce qu’aucun être humain ne peut avoir son futur dans les
mains.
L’espérance de l’Ancien Testament résidait dans l’attente du
Messie qui devait venir. L’espérance chrétienne rend présent le Royaume de Dieu
en nous. Elle implique la présence de Dieu dans notre cœur et cette présence en
nous nous rend capables de la vie éternelle. « Avec l’espérance nous sommes
déjà au paradis, même si notre cœur a encore peur » (Divo Barsotti).
Pour vaincre cette peur, nous pouvons retourner à la Bible qui nous invite à ne pas avoir peur. Par exemple, pensons à Pierre qui marchait sur l’eau vers Jésus. Il céda à la peur du vent et des ondes et était en train de se noyer. Il retrouva la main du Christ tendue vers lui, qui le releva, lui pardonna et lui donna une nouvelle force.
Tout cela nous pousse à cultiver l’espérance, et non la peur, la confiance, et
non le découragement.
mardi 2 novembre 2021
Nouvelle traduction du Missel romain (à compter du 28 novembre 2021)
Un petit événement
dans l’Eglise en France !
A partir du dimanche 28 novembre, tous les catholiques francophones
entendront et useront de nouveaux mots pendant la messe tels que « consubstantiel
au Père », « C’est pourquoi je supplie la bienheureuse Vierge
Marie », « Heureux les invités au repas des noces de
l’Agneau ! », « Frères et sœurs » …
L’entrée en vigueur de la nouvelle traduction du Missel romain n’apporte pas de grands changements dans la liturgie eucharistique, mais offre « l’occasion d’approfondir notre intelligence de la messe ».
Exemple : LA PLACE DU SILENCE
« Une des nouveautés de cette
traduction est la place importante laissée au silence ». Comme le rappelle
la Présentation Générale du Missel Romain (PGMR),
« le silence sacré fait partie de la célébration » :
-
Le
nouveau missel indique ainsi un nouveau temps de silence après le Gloire
à Dieu : « Tous prient en silence quelques instants, en même
temps que le prêtre. Puis, le prêtre, les mains étendues, dit la prière
d’ouverture ou de collecte ».
« La liturgie
s’inscrit dans la tradition vivante de l’Eglise, l’Eglise est un corps
vivant ».
Cette nouvelle traduction invite à « vivre la messe de manière renouvelée, peut-être avec un peu plus d’intensité et d’attention ».
L’objectif était, entre autres, de se rapprocher
du texte original latin.
A partir du 28 novembre, les fidèles entendront et
réciteront les textes de la nouvelle traduction.
En plus de la révision
d’un certain nombre de prières, préfaces et dialogues rituels, une plus grande
place est donnée au silence et à la gestuelle.
Autre évolution, les
adresses sont désormais inclusives : « frères et sœurs » au lieu
de « frères » auparavant – une volonté chère aux Eglises suisse et
canadienne, et qui correspond au texte latin.
Enfin, l’accent est mis sur l’eucharistie en tant que mystère.
Le Café chrétien: dates des rencontres du mois de novembre
Le Café Chrétien :
Lieu de rencontre conviviale dans un esprit chrétien ouvert à tous,
croyants ou non.
Il a pour « mission » écoute,
partage et échange, jeux, karaoké et bricolage parfois. Le terrain est grand.
* Samedi 13/11, 15H-17H : partage
sur bons plans de l’été dernier.
* Dimanche 28/11, 12h-17h :
repas partagé et échange de recettes faciles de Noël.
Les gestes barrières sont de la partie !
On peut venir seul, ou en famille, ou encore mieux avec d’autres.
Contact : Marie-Agnès et Bernard : 06 62 48 22 18